GIORDA Patrice
Estampe, s. d., H. 50 x L. 65,5 cm
N° 1/45
Collection : GAC
Numéro d'inventaire : G-MS2016-47
Issue de la collection de Michel Sottet.
N° 1/45
Collection : GAC
Numéro d'inventaire : G-MS2016-47
Issue de la collection de Michel Sottet.
Né à Lyon en 1952, Patrice Giorda est diplômé de l'école des Beaux-Arts de Lyon, ville où il vit et travaille. Remarqué très tôt à la XIIIe Biennale de Paris en 1985, il n'a cessé d'affirmer sa singularité de peintre au sens classique. Sa figuration demeure contemporaine, même si elle tourne le dos aux avant-gardes. Sa représentation presque symbolique de la nature dépasse les simples paysages. En 2000, il séjourne au Portugal pour peindre une série de 27 panneaux d'azulejos sur les Fables de La Fontaine. Patrice Giorda, peintre tourmenté par une recherche fiévreuse de la réalité des êtres et des choses à travers la couleur et la forme, produit un travail qui évoque la souffrance, la sérénité, le souvenir, la mémoire.
Cette oeuvre est issue d'une série de peintures inspirées par l'établissement religieux des lazaristes, perché sur les hauteurs de la colline de Fourvière à Lyon, où Patrice Giorda fut élève et pensionnaire. Habituellement grand coloriste, l'artiste ne l'est pas ici usant uniquement des diverses nuances de noir, rendant le lieu quelque peu austère. S'étonnant de l'absence humaine, notre regard peut toutefois monter l'escalier, qui sans doute mène vers une esplanade à la vue dégagée. L'important dans cette esquisse se sont les masses des bâtiments, plus évocatrices que directement figuratives.
Cette oeuvre est issue d'une série de peintures inspirées par l'établissement religieux des lazaristes, perché sur les hauteurs de la colline de Fourvière à Lyon, où Patrice Giorda fut élève et pensionnaire. Habituellement grand coloriste, l'artiste ne l'est pas ici usant uniquement des diverses nuances de noir, rendant le lieu quelque peu austère. S'étonnant de l'absence humaine, notre regard peut toutefois monter l'escalier, qui sans doute mène vers une esplanade à la vue dégagée. L'important dans cette esquisse se sont les masses des bâtiments, plus évocatrices que directement figuratives.
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