SEGUI Antonio - Sans titre
Lithographie, 1989, H. 53,4 x L. 72,8 cm
Editeur : Atelier Clot, Bramsen et Georges - Paris
N° 14/100
Collection : État
Numéro d'inventaire : D-2006.1.5 / FNAC 88 353/
Dépôt du Centre national des arts plastiques. Dépôt du Département de l'Ardèche. Fait partie d'une série intitulée « Estampes et Révolution, 200 ans après », commande publique du Ministère français de la Culture à l'occasion du Bicentenaire de la Révolution française.
Editeur : Atelier Clot, Bramsen et Georges - Paris
N° 14/100
Collection : État
Numéro d'inventaire : D-2006.1.5 / FNAC 88 353/
Dépôt du Centre national des arts plastiques. Dépôt du Département de l'Ardèche. Fait partie d'une série intitulée « Estampes et Révolution, 200 ans après », commande publique du Ministère français de la Culture à l'occasion du Bicentenaire de la Révolution française.
Né en 1934 en Argentine, Antonio Seguí vit et travaille en France depuis 1963. L'artiste confère aux figures une place primordiale dans son oeuvre. Il fait partie du mouvement de la Nouvelle Figuration. Dans les années 1960 et 1970, ses tableaux sont sombres et dénonciateurs. Il y fait figurer des représentants du Pouvoir, de l'Armée et du Clergé. Il peint des toiles expressionnistes et satiriques qui font allusion à l'histoire politique et sociologique de l'Amérique latine.
Antonio Seguí évoque ici la Révolution française en représentant des figurines, traitées en aplats cernés, qui se livrent à une sorte de jeu de massacre où la guillotine remplace la balle ou le ballon. Ces personnages, ressemblant à des jouets, exercent les uns sur les autres des mutilations sur un rythme accéléré. Le spectateur se retrouve face à l'activité folle d'une humanité réduite à des marionnettes déréglées, morcelées et abandonnées à leur propre violence. Antonio Seguí a déposé au coeur de cette composition son chapeau de feutre faisant cohabiter le passé et le présent.
Bibliographie :
Estampes et Révolution, 200 ans après, cat. exp. Centre national des arts plastiques, 27 juin-27 août 1989, ministère de la Culture et de la Communication, 1989, p. 88-89.
Antonio Seguí évoque ici la Révolution française en représentant des figurines, traitées en aplats cernés, qui se livrent à une sorte de jeu de massacre où la guillotine remplace la balle ou le ballon. Ces personnages, ressemblant à des jouets, exercent les uns sur les autres des mutilations sur un rythme accéléré. Le spectateur se retrouve face à l'activité folle d'une humanité réduite à des marionnettes déréglées, morcelées et abandonnées à leur propre violence. Antonio Seguí a déposé au coeur de cette composition son chapeau de feutre faisant cohabiter le passé et le présent.
Bibliographie :
Estampes et Révolution, 200 ans après, cat. exp. Centre national des arts plastiques, 27 juin-27 août 1989, ministère de la Culture et de la Communication, 1989, p. 88-89.
ANSE-001
Lithographie, 1989, H. 53,4 x L. 72,8 cm
Editeur : Atelier Clot, Bramsen et Georges - Paris
N° 14/100
Collection : État
Numéro d'inventaire : D-2006.1.5 / FNAC 88 353/
Dépôt du Centre national des arts plastiques. Dépôt du Département de l'Ardèche. Fait partie d'une série intitulée « Estampes et Révolution, 200 ans après », commande publique du Ministère français de la Culture à l'occasion du Bicentenaire de la Révolution française.
Editeur : Atelier Clot, Bramsen et Georges - Paris
N° 14/100
Collection : État
Numéro d'inventaire : D-2006.1.5 / FNAC 88 353/
Dépôt du Centre national des arts plastiques. Dépôt du Département de l'Ardèche. Fait partie d'une série intitulée « Estampes et Révolution, 200 ans après », commande publique du Ministère français de la Culture à l'occasion du Bicentenaire de la Révolution française.