BENDINE-BOUCAR Pierre - Sans titre
Sérigraphie, 2004, H. 65 x L. 45 cm
Editeur : Jean Villevieille
H.C. N° 7/7
Collection : GAC
Numéro d'inventaire : GV.2015.16
Issue du fonds Jean Villevieille, éditeur sérigraphe, Saint-Étienne.
Editeur : Jean Villevieille
H.C. N° 7/7
Collection : GAC
Numéro d'inventaire : GV.2015.16
Issue du fonds Jean Villevieille, éditeur sérigraphe, Saint-Étienne.
Pierre Bendine-Boucar est né en 1968. À Nîmes où il vit et travaille, il a étudié l'histoire contemporaine _et les arts plastiques à l'université d'Aix-en-Provence. Il commence à peindre à l'âge de 22 ans, et reçoit en 2002 le prix Pierre Cardin de l'Académie des beaux-arts.
C'est lors d'une résidence à Kaunas (Lituanie) en 1999 que Pierre Bendine-Boucar peint des fleurs pour la première fois. Jusque-là, sa peinture est rageuse, cabossée, griffée. Plutôt narratives, ses oeuvres sont parfois accompagnées de textes tout aussi sarcastiques que tendres. L'artiste a déjà une pratique sérielle. Le motif floral n'est qu'une base de travail, un prétexte pour un jeu de contrastes, de limites et de formes d'où résulte un curieux mélange entre rigueur et liberté. La forme, teintée de nuances vertes, jaunes et blanches, s'accumule et emplit la totalité de la partie inférieure de la composition. L'aplat accentue la dimension décorative de l'oeuvre. L'oeil du spectateur se perd dans les profondeurs de l'espace et s'arrête sur les chiffres (5 et 99). Dans la partie supérieure, un dripping gris vient rompre cette mise en scène du motif.
C'est lors d'une résidence à Kaunas (Lituanie) en 1999 que Pierre Bendine-Boucar peint des fleurs pour la première fois. Jusque-là, sa peinture est rageuse, cabossée, griffée. Plutôt narratives, ses oeuvres sont parfois accompagnées de textes tout aussi sarcastiques que tendres. L'artiste a déjà une pratique sérielle. Le motif floral n'est qu'une base de travail, un prétexte pour un jeu de contrastes, de limites et de formes d'où résulte un curieux mélange entre rigueur et liberté. La forme, teintée de nuances vertes, jaunes et blanches, s'accumule et emplit la totalité de la partie inférieure de la composition. L'aplat accentue la dimension décorative de l'oeuvre. L'oeil du spectateur se perd dans les profondeurs de l'espace et s'arrête sur les chiffres (5 et 99). Dans la partie supérieure, un dripping gris vient rompre cette mise en scène du motif.
PIBE-002